jeudi 9 février 2012

Neige 3.0...

... et température extérieur -12°.0 ...
Donc eau congelée DANS la masure de loc, je vous laisse imaginer l'ambiance farniente en plein air !!!
MAIS ça n'a pas empêché DD-le-courageux de draguer le voisin (shocking!) jusqu'à ce qu'il propose de lui filer un coup de brouette (et de mains gelées) pour déplacer les ferrailles que mes petits bras n'arrivaient pas à porter (j'ai des limites, faut croire!).
Du coup tout est en place, et moi j'ai pu être une fiiiille, aujourd'hui, au lieu d'être un vrai mec... et juste regarder la sueur de DD congeler en live sur son lârge front (véridique, la gelée! Le front aussi, mais chuuut!).
A cette occasion, une image de circonstance:
Oui, c'est la Barbie Louboutin en édition limitée...
Parce que je le vaut bien (et au cas où vous avez commencé à vous gratter le crâne pour mon anniv'...) !

Bon, allez, je fais pas ma pimbêche mi-blonde trop longtemps, je voudrais pas perdre l'audimat des vrais travailleurs... Voilà les photos du jour :





Ainsi que la minute didactico-intelligente (MI-blonde, j'avais dit, voyez que j'ai pas menti!):

ouiiii, donc pour les gens qui n'ont jamais construit une maison (bande d'ignares, comme moi ya 1,5 mois, quoi!), on pourrait se demander, n'est-ce pas, une longrine, c'est quoi?

ET bien figurez-vous chers con-frères (oh, là, là, la pouffe se réveille en moi!) qu'une longrine n'est autre qu'un poutre en béton armé qui est la structure même sur laquelle repose l'intégralité totale de l'édifice sus-cité (rhô, Barbiiiie!).
Point de béton sur cette image, me direz-vous, Barbie, ça surchauffe sous le brush!

Certes, soit, je développe et je simplifie, donc: les armatures feraillée que vous voyez sur les images ce sont les bouts de fer qui iront dans le béton et qui le transformeront comme par magie (sauf que la magie ne pèse pas 120kg pièce!) en béton armé.

Maintenant que Patrick a fini les trous en long où on coulera les longrines, aujourd'hui DD et le voisin ont fait chauffer les biceps et les dorsaux pour disposer adéquatement les ferrailles à côté des trous dans lesquels on les fera tomber demain, en attendant le redoux et en croisant les doigts pour que les températures positivent et que l'usine qui mixe le béton se remette en mode David Guetta et fasse tourner le toupies au lieu de se tourner les pouces!Voilà, vous savez tout!

Donc là yapuka (espérer, prier, coffrer, couler, au choix!) et "semaineuh prôchaineuh ou suivannnteuh" normalement on attaque the vrai fun, on décolle du sol, de la boue, la fange et la banquise, et on s'élève vers des cieux prometteurs (ouais, on construit, quoi!).

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